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Chapitre 9 de SIMPLEMENT DIFFERENT en ligne
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Chapitre 9 de A LA DERIVE en ligne
Chapitre 6 de CHASSES-CROISES en ligne






 

Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 11:46


L’endroit était paradisiaque. Le ciel bleu, vide de tout nuage, se reflétait dans l’eau. Le lac était immense, couleur émeraude, si beau que l’on ne pouvait le lâcher du regard. Il était bordé de centaines de sapins, plus hauts les uns que les autres. Derrière, on pouvait apercevoir d’immenses glaciers, amenant à l’air estival une fraîcheur bienvenue. Des cascades d’eau découlaient des sommets pour se déverser dans le lac, dans lequel quelques courageux osaient parfois se baigner, malgré l’eau gelée. Mais ce n’était pas encore la haute saison, alors il n’y avait pas grand monde dans le parc. Car ce paysage féerique était au centre d’un parc naturel mondialement connu. Les gens venaient de partout.

De ce fait, des logements avaient été construits pour accueillir les touristes. Une dizaine de chalets en bois étaient visibles sur la berge. Chacun comportait quatre chambres de deux personnes, souvent occupées par plusieurs couples ne se connaissant ni d’Eve ni d’Adam. L’ambiance pouvait être conviviale ou romantique, selon que l’on restait en groupe ou en couple.

Plus loin, un hôtel se détachait du reste. Construit sur une presqu’île, accessible par un simple ponton, il dominait le lac. Comme le reste, il était fait de bois, et s’intégrait parfaitement dans le paysage, malgré ses quatre étages. Il n’était jamais vide, car il était très prisé. Les prix étaient abordables, et l’accueil parfait. L’intérieur aussi était majoritairement en bois, des murs jusqu’aux tables de nuit. La décoration était simple, mais chaleureuse, dans les tons orangés. Les lumières étaient tamisées, donnant à l’endroit une atmosphère particulière, autant dans les pièces communes que dans les chambres.

L’été ne faisait que commencer, mais quelques vacanciers étaient déjà là. Certains déjeunaient en terrasse, voulant profiter de la brise matinale. D’autres préféraient rester dedans, et se réveiller en douceur à la chaleur d’un feu de cheminée, autour d’un bon café et de viennoiseries en tous genres. Il y avait très peu d’enfants, ce qui n’était pas pour déplaire à ceux qui étaient venus dans l’espoir d’y trouver le calme et la sérénité.

On n’entendait rien d’autre que les voix des touristes, et les bruits des cuillères dans les tasses, ajoutés aux habituels effondrements des cascades et aux chants des oiseaux.

Rien ne semblait pouvoir troubler cette ambiance paisible et insouciante. Les gens respiraient la joie de vivre. Ils se sentaient intouchables, et, aveuglés par leur bonheur, ils ne voyaient pas tout ce qu’il se passait alentour.

 

Non loin de là, sur le rivage recouvert de galets, un homme se promenait. Ses cheveux étaient roux, presque rouges. Ils partaient dans tous les sens, car il ne se coiffait jamais. Le souffle du vent et ses longs doigts fins faisaient l’affaire. Le soleil faisait briller sa chevelure, que de légères mèches blondes éclaircissaient. Tout cela était parfaitement assorti à sa peau hâlée, due à de nombreuses heures passées à grimper sur les montagnes nues de toute végétation, et ses yeux verts étaient mis en valeur, car ils étaient à la fois très clairs et très frappants.

Vêtu d’un simple bermuda de toile noir, et d’une chemise à manches longues turquoise, il ne craignait pas le froid matinal. Ses tongues à la main et les pieds dans l’eau, il faisait une énième fois le tour du lac, adorant se balader à l’ombre des sapins.  Il était le propriétaire du fameux hôtel, alors il avait souvent l’occasion de se retrouver seul, à errer parmi les arbres. Il appréciait ses moments de solitude qui lui permettaient de faire le vide. Tenir un hôtel n’était pas chose facile, même si son affaire marchait plutôt bien. A vingt-huit ans, il avait réussi là où son frère avait échoué. Quand leur père était mort cinq ans auparavant, son aîné avait hérité de l’hôtel, mais il n’avait pas su le gérer et avait préféré abandonner au bout d’un an, pour passer le relais à Amaury. Ainsi, il s’était retrouvé à la tête d’une entreprise en faillite, mais grâce à ses idées originales, il était devenu le patron de l’hôtel le plus demandé du pays et sa renommée ne cessait d’augmenter chaque jour.

 

Il marchait déjà depuis quelques minutes lorsqu’il aperçut une forme, à une cinquantaine de mètres devant lui, gisant sur les galets. Il ne pouvait distinguer ce que c’était, car elle était immobile et dissimulée sous les vagues. Il s’approcha donc prudemment, mais il fut surpris par une légère vague qui vint dévoiler à sa vue un triste spectacle. Le corps d’un homme apparut. Il avait de longs cheveux bruns qui recouvraient son visage et l’inondaient d’énormes gouttes d’eau. Son t-shirt noir était trempé et lui collait au corps, révélant des abdominaux plutôt développés pour une taille si mince. Son jean devait peser tant il était imbibé d’eau.

Il ne semblait pas avoir passé trop de temps dans le lac, mais il avait l’air sans vie, et sa peau très pâle inquiéta Amaury, qui ne pouvait se résoudre à passer son chemin. Il voulut de lui porter secours, et avança de quelques pas vers lui, lentement. Méfiant malgré tout, il se préparait à un éventuel geste de l’inconnu.

Voyant que ce dernier ne jouait pas la comédie, il s’agenouilla à côté de lui et attrapa son poignet pour prendre son pouls. La cadence était très faible, mais son cœur battait, c’était l’essentiel. Si l’on regardait de plus près, on voyait sa poitrine se soulever de temps à autre. Il était simplement inconscient, mais son état ne laissait rien présager de bon, alors Amaury décida de l’emmener se faire soigner aussi vite que possible. Field était la ville la plus proche, construite à l’intérieur même du parc. Avec sa centaine d’habitants à l’année, c’était plutôt un village, mais lorsque les hôtels et les résidences secondaires étaient pleins, principalement en été, la population était multipliée par dix, voire plus. Il n’y avait pas de médecin, mais des services d’ambulances et de pompiers, ce qui conviendrait parfaitement. Le centre était à deux kilomètres du lieu où ils se trouvaient, alors Amaury entreprit de prendre le corps frêle et mouillé dans ses bras pour l’emmener jusqu’à sa voiture, garée un peu plus loin. La tâche s’avéra difficile, car il ne portait pas les chaussures les plus pratiques pour porter un poids tout en marchant sur des galets, mais il finit par arriver à l’endroit désiré. Il fut soulagé lorsque sa Jeep noire apparut dans son champ de vision. Elle était toute neuve, mais déjà recouverte de poussière, à cause des nombreux chemins en terre qu’il empruntait dans le parc.

Dans un dernier effort, il piétina jusqu’à la porte arrière de sa voiture, puis l’ouvrit. Tenant le corps inerte dans son bras gauche, il attrapa de son bras droit tous les outils qui traînaient sur les sièges et les jeta dans le coffre. Il allongea doucement l’inconnu sur la banquette et ferma la porte, pour aller s’installer à l’avant. Après un dernier coup d’œil dans le rétroviseur, il démarra et la voiture disparut au milieu des arbres. Ils arrivèrent vite au centre-ville, où quelques vacanciers venaient poster leurs cartes ou manger un morceau à l’auberge. Amaury alla se garer devant le centre de secours, et quelques infirmières en sortirent en le voyant arriver. Il leur expliqua rapidement la situation, puis ils allèrent chercher une civière pour transporter le corps du blessé. Amaury les aida à le porter, mais une fois à l’intérieur, il dut attendre que le médecin principal examine l’homme inconscient qu’il avait trouvé. On lui conseilla d’aller s’occuper l’esprit pour patienter, car s’il restait ici, il ne ferait que stresser un peu plus, alors il sortit du bâtiment et alla prendre un thé à l’auberge, où il acheta aussi son journal quotidien. Il le feuilleta tout en avalant sa boisson chaude, et quand il l’eut terminé, il jeta un coup d’œil à sa montre. Il était là depuis vingt minutes. Le médecin devait en avoir terminé avec son patient.

Il demanda l’addition et paya, en encourageant le serveur à garder la monnaie comme pourboire. Celui-ci fut assez surpris car Amaury avait été assez généreux. Ce devait être un nouveau, car d’habitude, les autres ne s’en étonnaient pas. Ils savaient qu’Amaury était le propriétaire de l’hôtel du lac, et qu’il avait amassé une petite fortune grâce à ça, alors ils avaient même tendance à en demander plus. Il ne fit pas attention à l’air ahuri du jeune homme et s’en alla. Quand il eut rejoint le centre, le médecin l’attendait, assis à son bureau, surveillant du coin de l’œil l’inconnu allongé sur la table d’auscultation.

-         Comment il va ? S’inquiéta Amaury.

-         Il pourrait aller mieux, mais il a de la chance dans son malheur. L’eau n’a pas atteint les poumons, alors il n’y a pas grand-chose à faire. Je lui ai mis une perfusion pour qu’il se nourrisse et reprenne des forces, et une infirmière lui a enlevé ses vêtements pour les remplacer par d’autres, plus secs, que j’ai toujours en réserve, au cas où une situation comme celle-ci se présente.

Amaury se tourna vers le jeune garçon. Effectivement, il était branché à une perfusion, et il ne portait plus les mêmes habits, on l’avait changé.

-         Qu’est-ce que je dois faire maintenant ?

-         Rien de particulier. Il n’y a plus qu’à attendre qu’il se réveille. Vous pouvez rester si vous voulez, le rassura le médecin. Je n’ai pas de rendez-vous aujourd’hui, alors à moins qu’il y ait une urgence, on n’a pas besoin de changer de pièce et on peut patienter tranquillement. Vous voulez quelque chose à lire ?

Amaury acquiesça, et l’homme sortit plusieurs magazines d’un tiroir de son bureau. Il les tendit à Amaury qui les attrapa.

-         Merci Docteur, pour tout.

-         De rien. Je ne fais que mon boulot.

Le médecin lui sourit, et ils se plongèrent tous deux dans une lecture inutile mais nécessaire pour faire passer le temps.

 

            Ce n’est qu’une demi-heure plus tard qu’un léger bruit attira leur attention. Ils levèrent le nez de leur magazine, et remarquèrent que le jeune blessé tentait péniblement de leur parler. N’y arrivant pas, il avait un peu bougé pour faire trembler la table et ça avait marché. Il avait été entendu. A présent qu’on le regardait, il essayait de sortir quelques mots, mais sa voix n’était que murmure. Il vit Amaury s’approcher de lui, et lui faire signe de se calmer. Il comprit qu’il n’avait pas à dire quoi que ce soit. Les deux hommes présents à ses côtés allaient s’occuper de lui. Etrangement, il leur faisait confiance, même s’il ne savait pas qui ils étaient, ni ce qu’il faisait là.

            Le médecin examina une dernière fois ses yeux, puis il l’autorisa à se lever. Les débuts furent laborieux, il était encore trop faible, mais Amaury l’autorisa à s’appuyer sur lui, et ce fut tout de suite plus simple. Ils allèrent tous les trois se rasseoir autour du bureau, pour discuter un moment. Le médecin lui posa diverses questions. Comment s’appelait-il ? D’où venait-il ? Que faisait-il échoué sur une plage, au fin fond du Canada ? Mais il ne sut y répondre. Il ne se souvenait de rien, même pas de son propre nom.

-         Ce n’est peut-être qu’une amnésie temporaire, le rassura le docteur. Nous allons laisser passer quelques jours, et si il n’y a aucune amélioration, nous aviserons. Vous savez où dormir ?

-         Je…

-         Il peut dormir chez moi, l’interrompit Amaury. Ca ne me dérange pas.

-         Merci, dit l’inconnu en lui souriant sincèrement. Il ne pouvait pas se permettre de refuser, il n’avait nulle part où aller, et cet homme semblait honnête.

 

Le médecin leur donna quelques derniers conseils, puis il les laissa partir, heureux de pouvoir enfin rentrer chez lui, pour retrouver sa femme qui devait lui avoir préparé un bon petit plat, comme tous les midis.

      Amaury, de son côté, emmenait son nouveau protégé chez lui. Il l’avait aidé à monter  l’avant, du côté passager, puis il avait pris le volant, le laissant ainsi donner libre cours à ses pensées. Lui-même se demandait comment ils allaient vivre à deux dans un si petit habitat. En effet, depuis quatre ans, il vivait dans une caravane, près de la ville et de l’hôtel, mais au milieu des sapins. Elle était assez grande, et comportait trois pièces séparées, mais il n’y avait qu’un seul lit, et pour deux, il était plutôt petit. ll voulait emménager dans sa propre maison, qu'il avait commencé à construire à quelques mètres de là, au coeur de la forêt, mais il faisait tout lui-même, donc ça lui prenait du temps. Il n’y avait pas de magasin de bricolage là où il vivait, alors il devait faire plus de deux cent kilomètres pour atteindre la grand ville la plus proche : Calgary. Là-bas, il achetait tout ce dont il avait besoin : meubles, vitres, peinture, tapisserie… Quand il y était, il était totalement dépaysé, car tout était très moderne, mais petit à petit, il s’y était habitué, même s’il préférait le calme de sa forêt natale. Il espérait simplement que l’homme qu’il recueillait ne serait pas trop choqué par son mode de vie.

      Quand ils arrivèrent au campement, le jeune homme parut plutôt surpris, mais il ne fit aucune remarque. Amaury l’aida à sortir de la voiture et le laissa observer un moment l’environnement dans lequel il se trouvait. Autour de sa caravane, il avait aménagé un fil à linge et un endroit destiné aux feux de camp. Il avait planté une tente dans laquelle il stockait tout ce qui ne rentrait pas ailleurs, et il avait installé une petite table et deux chaises dehors, dont il se servait lorsqu’il faisait beau.

      Après quelques minutes, Amaury l’invita à entrer dans la caravane. Il lui expliqua comment marchait la salle de bains, puis il lui conseilla de s’asseoir sur le lit, en laissant la porte ouverte pour qu’ils puissent discuter, car la cuisine n’était pas très grande et il allait préparer à manger.

-         T’as faim ? Lui demanda Amaury.

-         Pas trop non. Mais faites quelque chose pour vous, j’en prendrai peut-être un bout.

-         D’accord, mais s’il te plaît, ne me vouvoie pas, dit Amaury, en mettant un plat de lasagnes à réchauffer au micro-ondes. On doit presque avoir le même âge toi et moi.

-         Qu’est-ce que j’en sais moi, je me souviens de rien, lança l’inconnu, dépité.

Amaury le rejoint dans la chambre et s’assit à côté de lui. Il se doutait que ça ne devait pas être facile d’avoir tout oublié, mais il voulait essayer de le rassurer. Il n’avait pas envie de l’héberger avec un sourire si triste sur son visage.

-         Ecoute, je sais que c’est pas facile, mais peut-être que dans quelques jours, tout te reviendra. T’auras sûrement des flashs, comme a dit le médecin, mais en attendant, il vaut mieux te faire à l’idée que tu te souviens de rien. Tu vas rester ici et reprendre tout à zéro, le temps qu’il faudra, puis on verra.

La sonnerie du micro-ondes retentit, alors Amaury se leva, en espérant avoir trouvé les bons mots. Mais il n’avait pas encore franchi la porte de la chambre quand son nouveau colocataire ajouta quelque chose.

-         Qu’est-ce que tu veux que j’aie comme flash ? Je sais même plus comment je m’appelle !

Amaury ne se retourna pas, et hésita un moment, mais il finit par se lancer. Ce jeune garçon avait besoin d’un prénom.

-         Dimitri, dit-il.

-         Hein ?! Lança l’inconnu, ne comprenant pas de quoi il parlait.

-         T’as qu’à t’appeler Dimitri.

-         Pourquoi ?

-         Parce que j’aime bien ce prénom.

Il sortit de la chambre, sans lancer au désormais Dimitri le temps de répliquer.


***

Voilà le premier chapitrede la co-prod avec Mai-Lynn, j'espère qu'il vous plaît^^
L'intrigue se met en place hihi xD
Gros bisous à toutes, Viviii, Sweetheart, Loulou...
Je vous zaiimeeuuhh :D
<3

***

Publié dans : A la dérive [co-prod avec Mai-Lynn, en cours] - Par JoY - Communauté : Lawful Drug
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*RéSUMéS*


A LA DERIVE

[en cours]

Un jeune homme est retrouvé échoué sur la plage par Amaury. Lorsqu’il se réveille, il ne se souvient plus de rien. Amaury décide de le recueillir chez lui, mais très vite, le passé de « Dimitri » va ressurgir…

 

BONNES ANNEES
[FINIE]

Lors d’une soirée entre amis pour fêter le passage à la nouvelle année, Danny fait la connaissance de Laurent, qui lui fait découvrir qui il est vraiment. L’amour les réunit, pendant de longues années, malgré les jalousies, malgré les envies. Ils restent ensemble, car pour rien au monde ils ne se sépareraient. Ils sont aveuglés par leur bonheur apparemment sans faille, et leur naïveté va finir par leur jouer des tours…


CHASSES-CROISES

[en cours]

Après avoir passé une année entière chez lui, enfermé dans son mutisme, Kenny décide de retourner au lycée, tout en changeant d’établissement. Il rencontre Loan, un jeune garçon très enthousiaste. Malgré leurs différences, une grande complicité va les lier, et très vite, ils vont se rendre compte qu’ils ont en commun beaucoup plus de choses qu’ils ne le pensaient. Lorsque l'équipe de hand-ball du lycée, dont Kenny fait partie, rencontre celle de son ancien établissement, son passé refait surface. Les rencontres s’enchaînent…

DESTINATION PASSE
[en cours]
Nahel a douze ans quand il est pour la première fois attiré par un garçon. Guiranne a douze ans lorsqu’il est attiré pour la première fois par Nahel. Malheureusement, leur histoire ne se termine pas comme ils l’auraient souhaité. Ils se perdent de vue, mais se retrouvent, cinq ans plus tard,  au lycée. Ils ont changé, leur entourage aussi. Ils ne se connaissent plus,  et ils devront faire abstraction du passé pour poursuivre leur route, chacun de leur côté, malgré les confidences, malgré les blessures…

INDICIBLES CRUAUTES
[FINIE]  

Auxence est un élève doué, un sportif et un homme à femmes. Pour se faire de l’argent de poche, il a organisé un véritable business. En échange de jolies sommes, il fait les devoirs de ses camarades et revend les sujets qu’il a volés. Mais un jour, son petit trafic est découvert par Idriss, une petite frappe de son lycée, et celui-ci va le faire chanter. En échange de son silence, Auxence devra faire tous ses devoirs et supporter toutes ses lubies. Un long chantage s’installe, mais un soir, tout dérape…

 
PLUS QUE NOUS
[FINIE]

Ils sont trentenaires, anglais, confortablement installés dans leurs vies étriquées. Célibataires ou en couple, leurs destins vont s’entremêler. Lorik, Cypriaque, Miralem, Clémentine : ils auraient pu ne jamais se rencontrer, mais ils vont se retrouver enfermés dans leur bulle, au milieu des obstacles et des difficultés. Au-delà des secrets, des mensonges, des faiblesses inavouées, ils devront avant tout croire en eux, et être prêts à tout accepter. L’amour leur fera imaginer l’inacceptable, tout en les empêchant d’entrevoir l’inavouable. De coïncidence en coïncidence, il leur faudra éviter d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Une seule erreur pourrait être fatale…

 

POUR LA VIE
[FINIE]

Depuis toujours, Nuno et Tristao sont les meilleurs amis du monde. Quand d’autres sentiments viennent perturber leur complicité, tout bascule. De révélation en révélation, de nouveaux liens se créent entre eux et leurs amis. La vie les emmène là où ils n’auraient jamais osé aller. Petit à petit, une toile se tisse, dans laquelle le passé n’est jamais bien loin…


SAGESSE D'UNE ETOILE
[en cours]
Accepteront-ils la vérité ? Ils portent le nom d’une étoile, et chaque soir ils s’enlisent un peu plus dans l’obscurité. Ils croient tout connaître l’un de l’autre, mais ils oublient un détail. Un seul, qui les obligera à tout remettre en question, à cause des préjugés, des non-dits, des regards blessants. Orion, Calixte : leur rencontre va être mouvementée, leur relation va mal commencer, le chemin sera compliqué. Ils n’avaient pas prévu de s’aimer, mais personne ne leur a demandé leur avis. Entre soucis professionnels, et problèmes familiaux, ils ne seront pas épargnés. Jusqu’au bout, ils ne pourront deviner ce que leur réserve leur destinée…

SIMPLEMENT DIFFERENT
[en cours]
Elliot est étudiant, Lynel est batteur. Ils vivent dans deux mondes différents, séparés par un simple écran. Elliot l’écoute, l’admire, sa musique l’envoûte, mais Lynel ne le connaît pas. Il ignore son existence. Leurs vies vont être chamboulées, quand leurs yeux vont se croiser. Elliot va tout faire pour approcher son idole, qui préfèrera rester à distance, d’horribles images l’empêchant d’avancer…


SYMPHONIE D'ALCOOLS
[en cours]

Doux orgasme:

2 cl de virilité,

2 cl de sensualité,

2 cl de réalisme,

2 cl de passion,

4 cl de sadisme,

1 cl de romance,

1 cl de maturité

et un zeste de féminité.  

Entrez sans modération dans le monde de Florentin, Arthur, Emilien, Armand et les autres, sous l'oeil bienveillant de Bérénice qui vous guidera où bon vous semblera quand vous serez dans un piteux état! N'oubliez pas que boire ou conduire, il faut choisir, surtout lorsque vous risquez de vous retrouver là où vous n'avez jamais pensé aller, un soir de fête, gai et abruti par le flot de musique déversée autour de vous
 

Et divers OS...


 

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